Occurences de l'expression

ion

pour BOISSY, Louis de

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LA VIE EST UN SONGE (1732)

Vaines précautions ! Le remords dans mon coeur v.50 (Acte 1, scène 1, LE-ROI)
Votre prédiction si terrible et si noire, v.202 (Acte 1, scène 7, LE-ROI)
Mais quelle attention attire ma personne? v.344 (Acte 2, scène 1, SIGISMOND)
Un gentilhomme, là... de conversation. v.595 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
De conversation ! Par là que veux-tu dire ? v.596 (Acte 2, scène 7, SIGISMOND)
Quel songe a sur vos sens fait tant d'impression v.979 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Si quelque illusion a sur moi de l'empire, v.1232 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)

L'AUTEUR SUPERSTITIEUX (1732)

Nous étions... j'en rougis... nous étions treize à table, v.18 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Captiver par son art l'attention publique, v.54 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Dans votre âme aujourd'hui la superstition v.111 (Acte 1, scène 1, DAMON)
La superstition à l'homme est naturelle ; v.122 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Cette commission est par trop ridicule, v.210 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Il veut être caché dans cette occasion, v.231 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)

LE MÉDECIN PAR OCCASION (1745)

Mon apparition vraiment la surprendra. v.3 (Acte 1, scène 1, CHAMPAGNE)
Mais il aime Paris par inclination, v.287 (Acte 2, scène 2, CHAMPAGNE)
Et parle bon français. Sa réputation v.288 (Acte 2, scène 2, CHAMPAGNE)
La dissipation peut seule l'en ôter. v.311 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
« J'arrive enfin, madame, et ma première attention est de vous en donner avis. (Acte 2, scène 4, LA-MARQUISE)
Oui, par occasion, v.431 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Lisette, ou, si tu veux, par conversation. v.432 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Par tes réflexions, ah ! Tu me désespères ! v.458 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Surprise de la voir dans celle émotion, v.500 (Acte 3, scène 2, LA-MARQUISE)
Il faut des passions arrêter le progrès ; v.779 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
Je passe de l'estime à l'admiration. v.1008 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
D'autant mieux qu'elle n'est que l'opération v.1119 (Acte 4, scène 5, LE BARON)
D'une heure tout au plus de conversation. v.1120 (Acte 4, scène 5, LE BARON)
Nous étions... v.1141 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
Les révolutions qui se font dans ce cas v.1188 (Acte 4, scène 7, MONTVAL)
Il faut, monsieur, il faut, dans ces occasions, v.1195 (Acte 4, scène 7, MONTVAL)
Considérer le temps et les positions. v.1196 (Acte 4, scène 7, MONTVAL)
L'opinion peut tout sur l'homme prévenu. v.1259 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Oui, qui fait tous les jours la réputation, v.1267 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Et même le talent ? mais c'est l'occasion. v.1268 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Mais, s'il le voulait bien, nous y ferions fortune ; v.1274 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)

LE BABILLARD (1745)

Sous le prétexte heureux d'une commission v.5 (Acte 1, scène 1, CLARICE)
Que veux-tu que je fasse en cette occasion ? v.57 (Acte 1, scène 1, CLARICE)
Il faut vous armer de résolution, v.58 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
Daphné ne badinât d'une telle union ; v.82 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Pour la faire changer de résolution : v.85 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Je ne vous aurai pas peu d'obligation. v.86 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Il est chargé pour vous d'une commission, v.93 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
La déclaration est tout à fait nouvelle, v.179 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
Je crois que nous faisions la guerre en Allemagne. v.208 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Officier à la cour, espion à la ville ; v.228 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Il faut avoir en tout de la discrétion. v.234 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
De ma complexion je parle peu pourtant ; v.249 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Ma foi ! Vous excellez pour les digressions, v.298 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Par des transitions insensibles, légères. v.300 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
Volontiers, je saisis l'occasion propice : v.312 (Acte 1, scène 7, LÉANDRE)
Elle est toujours au bal, c'est là sa passion. v.338 (Acte 1, scène 9, MÉLITE)
La dame en question, v.349 (Acte 1, scène 9, CÉPHISE)
La conversation doit être générale. v.363 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Sans contestation. v.397 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Avec votre permission... v.398 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Vous venez d'échouer dans l'affaire en question, pour avoir trop parlé et n'avoir pas assez agi, et faute de vous être rendu chez moi quand je vous ai envoyé mon laquais. (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)

LE FRANÃ‡AIS Ã€ LONDRES (1727)

Nous l'estropions nous-mêmes, pour la plupart ; et cependant nous ne parlons que notre langue. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Leur conversation est pleine de bon sens. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Leur conversation ? (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Sais-tu bien, marquis, puisque tu m'obliges à te parler sérieusement, qu'il ne faut que trois ou quatre têtes folles comme la tienne, pour achever de nous décrier dans un pays où notre réputation de sagesse n'est pas trop bien établie, et que tu as déjà donné deux ou trois scènes qui t'ont fait connaître de toute la ville ? (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Qu'au lieu de vouloir assujettir à ta façon de vivre une nation chez qui tu es, c'est à toi à te conformer à la sienne, et que, sans la sage police qui règne dans Londres, tu te serais déjà fait vingt affaires pour une ? (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
C'est pourtant à ces manières dont tu me fais tant la guerre, que j'ai l'obligation d'une conquête ; mais d'une conquête brillante ! (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Il est vrai, je ne le cache point, c'est de toutes les femmes que j'ai vues celle dont je chercherais la possession avec plus d'ardeur ; et je t'avouerai franchement que, s'il dépendait de moi, il n'est rien que je ne fisse pour te supplanter. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Tu es trop obligeant : je prendrai bien cette peine-là moi-même, et je n'attends que l'occasion. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Il cherche l'occasion de vous le déclarer : elle s'offre ; je la lui procure. (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Vous êtes femme de condition, je suis homme de qualité ; vous êtes riche, j'ai du bien ; vous êtes veuve, je suis garçon ; vous avez dix-neuf ans, j'en ai vingt-quatre ; vous êtes belle, je suis aimable ; nous sommes faits l'un pour l'autre : nous nous aimons tous deux, à quoi bon le cacher ? (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Mais je ne vous aime pas, monsieur ; et quand cela serait, je veux qu'on ait de la discrétion : j'aime le mystère. (Acte 1, scène 2, ÉLIANTE)
J'aurai de la discrétion par rapport à madame, car pour toi, rien ne m'oblige à garder le secret. (Acte 1, scène 2, LE-BARON)
Votre émotion, l'air même dont vous vous défendez. (Acte 1, scène 3, LE-BARON)
Monsieur, la chose est assez sérieuse pour mériter une mûre réflexion. (Acte 1, scène 3, ÉLIANTE)
Vous pourrez, madame, vous résoudre à épouser encore un homme de votre nation, après ce que vous avez souffert avec votre premier mari ? (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Toujours sombre, toujours brusque, il ne vous a jamais dit une douceur ; se levant le matin de mauvaise humeur, pour rentrer le soir ivre ; vous laissant seule toute la journée, ou réduite à la passer tristement avec d'autres femmes, aussi malheureuses que vous, à faire des noeuds, à tourner votre rouet pour tout amusement, et à jouer de l'éventail pour toute conversation. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Considérez, madame, que c'est la meilleure pâte de maris qu'il y ait au monde ; qu'ils doivent servir de modèle aux autres nations, et qu'un français a cent fois plus de politesse et de complaisance pour sa femme, qu'un anglais n'en a pour sa maîtresse. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Il faut lui parler avec la noble fermeté qui convient à une veuve, sans sortir du respect que doit une fille à son père ; il faut lui représenter que les maris de ce pays-ci ne sont pas faits pour rendre une femme heureuse, que vous en avez déjà fait la dure expérience, et qu'il s'offre un parti plus avantageux et plus conforme à votre inclination, un marquis français, jeune, riche, bien fait. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Moi-même, j'ai lieu de n'être pas contente du marquis ; son indiscrétion et son étourderie... (Acte 1, scène 5, ÉLIANTE)
Qu'il m'a appris de choses en cinq ou six conversations, et que je me suis façonné avec lui en quatre jours de temps ! (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
J'ai fait avant hier, avec le marquis, le plus délicieux souper, au lion rouge ; le tout accommodé par un cuisinier français, et servi à petits plats, mais délicats. (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
Nous étions en femmes. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Je lui dois donner à souper ce soir au lion rouge. (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
Je le veux bien ; mais à condition que mon père, qui arrive aujourd'hui, sera aussi de la partie. (Acte 1, scène 6, ÉLIANTE)
Monsieur, peut-on vous demander qu'est-ce qui me procure, de votre part, l'honneur d'une attention si particulière ? (Acte 1, scène 10, LE-MARQUIS)
Je vais suivre son exemple et faire une conversation à l'anglaise. (Acte 1, scène 10, LE-MARQUIS)
En vérité, il faut avouer que votre conversation est bien agréable, et qu'il y a beaucoup à profiter avec vous. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Je n'y aurais peut-être pas consenti, si vous aviez été plus raisonnable ; mais votre indiscrétion et vos airs éventés... (Acte 1, scène 12, ÉLIANTE)
Ne querellons point, nous n'en avons pas le temps ; ne songeons qu'à bien nous entendre tous trois pour donner l'exclusion à Jacques Rosbif. (Acte 1, scène 12, FINETTE)
Je suis bonne, je veux bien lui pardonner encore cette fois-ci ; mais ce sera la dernière, et à condition qu'il sera plus discret et plus retenu à l'avenir. (Acte 1, scène 12, ÉLIANTE)
Mais souvenez-vous toujours que je ne vous pardonne qu'à condition que vous changerez d'air et de conduite, et surtout que vous ne ferez plus de souper au lion rouge. (Acte 1, scène 12, ÉLIANTE)
Elle me parle du Lion Rouge ! (Acte 1, scène 13, LE-MARQUIS)
Je compte pour perdus tous les moments que je n'ai pas le bonheur d'être avec vous, vos conversations sont autant de leçons pour moi. (Acte 1, scène 14, LE-LORD-HOUZEY)
C'est de tous les airs celui que j'ambitionne le plus. (Acte 1, scène 14, LE-LORD-HOUZEY)
Un coup de tête, un air d'épaule, un geste, un souris, un regard, une expression, une inflexion de voix ; la façon de s'asseoir, de se lever, de tenir son chapeau, de prendre du tabac, de se moucher, de cracher. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
un homme du monde a des manières, par égard, par attention pour les autres, pour leur marquer la considération qu'il a pour eux, l'envie qu'il a de leur plaire et de s'attirer leur bienveillance. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
Vous refuse-t-il quelque chose, ce qui est plus ordinaire, il assaisonne ce refus de paroles si douces et de tant de politesses, que vous croyez lui avoir encore obligation. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Asseyons-nous un peu pour écouter leur conversation. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-CRAFF)
(Redoublez d'attention, je vous prie, car ceci est profond.) Un joli homme se donne des airs par complaisance pour lui-même, pour apprendre aux autres le cas qu'il fait de sa propre personne, pour les avertir qu'il a du mérite, qu'il en est tout pénétré, qu'on y fasse attention... (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
Il affecte une politesse de seigneur ; il lui fait une inclination de tête, comme s'il lui disait : " Allez ; bonjour, monsieur. (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Voilà une instruction dont je ferai mon profit. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-HOUZEY)
Mon fils est dans de très belles dispositions, et voilà un fort bel entretien. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-CRAFF)
Puisque nous sommes sur ce chapitre, je voudrais vous prier de m'apprendre quelles sont les qualités qui entrent nécessairement dans la composition d'un joli homme. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-HOUZEY)
Il faut être né d'abord avec un grand fonds de confiance et de bonne opinion de soi-même, un heureux penchant à la raillerie et à la médisance, avec un goût dominant pour le plaisir, et même pour le libertinage ; un amour extrême pour le changement et la coquetterie. (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
Je vous ferai présent, la première fois, d'un recueil d'imprécations et de serments, nouvellement inventés par un capitaine de dragons, revus par un officier de marine, et augmentés par un abbé gascon, qui avait perdu son argent au trictrac. (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
Vous voulez bien, monsieur le marquis, que je vous remercie des bonnes et solides instructions que vous donnez-là à mon fils ?... (Acte 1, scène 15, LE-LORD-CRAFF)
Toute la nation française vous doit un remerciement pour une si belle définition. (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Quoique je sois homme de condition, je n'ai pas honte de parler comme un savant ; et je vous soutiens que l'esprit n'est autre chose que le bon sens orné, qu'ainsi... (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Ne voilà-t-il pas mon homme d'esprit qu'un rien distrait, qu'une niaiserie occupe, tandis qu'on agite une question sérieuse ! (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Monsieur, ne voyez-vous pas que c'est une manière adroite dont je me sers pour vous avertir poliment de finir une dissertation qui me fatigue. (Acte 1, scène 16, LE-MARQUIS)
Je vous fais réparation pour lui, monsieur. (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
Monsieur, pouvez-vous donner dans un préjugé si peu digne d'un galant homme tel que vous me paraissez être, et décider de toute une nation sur un étourdi, comme celui que vous venez de voir ? (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
Chaque nation a ses travers, chaque pays a ses originaux. (Acte 1, scène 18, LE BARON)
Quelque raisonnables qu'ils soient, ils ne sont pas à l'abri des préjugés de l'éducation. (Acte 1, scène 19, LE-BARON)

L'HOMME DU JOUR (1732)

Commerce extérieur, union sans penchant, v.103 (Acte 1, scène 1, CELIANTE)
D'aucune impression son âme n'est émue, v.341 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Il n'est pas question de devoir ni d'honneur ; v.575 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
J'ai toujours eu du goût pour la précision. v.691 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Vous devez donc goûter sa conversation. v.692 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Répondez : est ce gène ? Est-ce obstination ? v.715 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Est-ce peu de lumière ? Est-ce distraction ? v.716 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
S'il n'était question que d'une folle ardeur, v.731 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Pour l'homme en question point de ménagement. v.747 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Qu'on acquiert les amis et les protections ; v.892 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
L'occasion est belle et voici le moment : v.903 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Dans ce qui, parmi nous, est de convention, v.991 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Et forme par degré la réputation : v.992 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Trouver l'occasion de lui parler chez elle; v.1150 (Acte 3, scène 3, LE MARQUIS)
Sur vos prétentions je compte l'emporter. v.1176 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Celui qui l'est vraiment dans les occasions, v.1339 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Non par des vains propos, mais par des actions, v.1340 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Et sa discrétion est un nouveau bienfait. v.1388 (Acte 4, scène 4, CELIANTE)
Si d'un parfait retour l'expression naïve v.1434 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
« Non, belle Lucile, il n'est point de situation plus singulière que la nôtre, ni d'amant plus malheureux que moi. (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Je sais l'opinion que vous avez de moi ; v.1456 (Acte 4, scène 7, LUCILE)
Mon coeur reconnaîtra cette obligation. v.1643 (Acte 4, scène 15, LE MARQUIS)
Je vous sers tous les deux par inclination. v.1644 (Acte 4, scène 15, LISETTE)
Émotion charmante ! v.1681 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
J'avais cru jusqu'ici que nous valions la peine v.1722 (Acte 5, scène 2, LUCILE)
Dans vingt occasions j'ai témoigné mon zèle. v.1781 (Acte 5, scène 5, LE BARON)
Et d'une pension on y joint le bienfait. v.1839 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)

L'APOLOGIE DU SIÈCLE (1734)

Les applications sont toujours dangereuses, v.68 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Et qui vend mes habits sans ma permission ? v.137 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Entraîné par l'occasion. v.139 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Tout crime est excusé, toute action est bonne, v.163 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Jamais la Nation fut-elle plus polie ? v.242 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Mais l'éducation dompte le naturel, v.323 (Acte 1, scène 3, L'INDIFFÉRENT)
Dans mon opinion, je suis toujours tranquille. v.371 (Acte 1, scène 3, L'INDIFFÉRENT)
La Bonne Opinion, ferme dans tous ses pas, v.434 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
Qu'on fronde ouvertement et par profession ; v.518 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
De railler joliment et par occasion. v.520 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Mais on a beau vanter l'expression touchante. v.611 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
C'est la position de nos pieds bien tournés, v.613 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)

LE PLAGIAIRE (1746)

Sous peine d'attirer son indignation. v.131 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Soyez sûr aujourd'hui de ma discrétion. v.132 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DU BERCEAU)
Si l'exécution, Madame, en est heureuse, v.226 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Et l'occasion l'enhardit. v.384 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Je viens vous retrouver, dans l'appréhension v.491 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
Que ma tante n'ait vu les Vers en question. v.492 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
J'aime la poésie à l'adoration : v.499 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
Mais, je viens d'éprouver dans cette occasion, v.500 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
À ces conditions, je veux bien m'y prêter. v.520 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
Confidence... surtout, de la discrétion. v.538 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Il me faut à présent une rime en ion. v.540 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Un jeune homme charmant c'est moi : l'expression v.541 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Dans la position où je suis maintenant. v.583 (Acte 2, scène , LE BARON)
Les vers en question, et pour les envoyer, v.624 (Acte 2, scène 11, LE BARON)
Ma bonté veut sur lui régler votre union ; v.659 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Consultez bien, surtout, votre inclination. v.660 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Et doit me confirmer dans mon opinion. v.695 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Adieu ; je vais presser notre double union. v.696 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)

LE JE NE SAIS QUOI (1731)

C'est l'affectation, c'est la coquetterie, v.78 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De la contagion si quelqu'un est exempt, v.89 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De l'exécution? v.147 (Acte 1, scène 2, VÉNUS)
Dans cette occasion, v.149 (Acte 1, scène 2, V?NUS)
Quelle affectation ! Quel rouge épouvantable ! v.176 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Nous ne saurions tous trois être en un même lieu. v.198 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
D'une conviction qui soit inébranlable. v.277 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
Que tu vas au plÛtôt changer d'opinion. v.293 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Et prenne exactement chaque dimension. v.299 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
Pour une contrescarpe, ou pour un bastion. v.301 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Dans cette occasion, je dois, sans perdre temps, v.335 (Acte 1, scène 5, LE PETIT MAÎTRE)
Mortifions un peu sa vanité. v.343 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Mais l'affectation chez vous a tout gâté. v.502 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Mais je ne trouve plus ma physionomie, v.658 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Dans le chemin qu'il faut que nous tenions. v.793 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Je mettrais mon retour à des conditions... v.794 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Par l'action, par la délicatesse, v.997 (Acte 1, scène 11, ARLEQUIN)
Vous l'emportez sur tous les Amphions, v.999 (Acte 1, scène 11, ARLEQUIN)
Qu'il n'est qu'un mot qui serve en cette occasion. v.1056 (Acte 1, scène 12, SILVIA)

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LES DEHORS TROMPEURS (1740)

Commerce extérieur, union sans penchant, v.103 (Acte 1, scène 1, CÉLIANTE)
D'aucune impression son âme n'est émue, v.341 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Il n'est pas question de devoir ni d'honneur ; v.575 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
J'ai toujours eu du goût pour la précision. v.691 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Vous devez donc goûter sa conversation. v.692 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Répondez, est-ce gêne ? Est-ce obstination ? v.715 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Est-ce peu de lumière ? Est-ce distraction ? v.716 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
S'il n'était question que d'une folle ardeur, v.731 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Pour l'homme en question, point de ménagement. v.747 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Qu'on acquiert les amis et les protections ; v.892 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
L'occasion est belle, et voici le moment : v.903 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Dans ce qui, parmi nous, est de convention, v.991 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Et forme par degrés la réputation : v.992 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Trouver l'occasion de lui parler chez elle ; v.1150 (Acte 3, scène 3, LE MARQUIS)
Sur vos prétentions je compte l'emporter. v.1176 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Celui qui l'est vraiment dans les occasions, v.1339 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Non par de vains propos, mais par des actions, v.1340 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Et sa discrétion est un nouveau bienfait. v.1386 (Acte 4, scène 4, CÉLIANTE)
Si d'un parfait retour l'expression naïve v.1432 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Je sais l'opinion que vous avez de moi, v.1454 (Acte 4, scène 7, LUCILE)
Mon coeur reconnaîtra cette obligation. v.1641 (Acte 4, scène 15, LE MARQUIS)
Je vous sers tous les deux par inclination. v.1642 (Acte 4, scène 15, LISETTE)
Émotion charmante ! v.1679 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
J'avais cru jusqu'ici que nous valions la peine v.1720 (Acte 5, scène 2, LUCILE)
Dans vingt occasions j'ai témoigné mon zèle. v.1779 (Acte 5, scène 5, LE BARON)
Et d'une pension on y joint le bienfait. v.1837 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)

LA CRITIQUE (1732)

Nous étions... j'en rougis... nous étions treize à table, v.18 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Captiver par son art l'attention publique, v.54 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Dans votre âme aujourd'hui la superstition v.111 (Acte 1, scène 1, DAMON)
La superstition à l'homme est naturelle ; v.122 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Cette commission est par trop ridicule, v.210 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Il veut être caché dans cette occasion, v.231 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Dans le monde on a d'elle une autre opinion ; v.344 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Par un injuste effet de la prévention, v.345 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
On croit, que sans égards et sans distinction, v.347 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Vous que guide la Haine et la Prévention; v.389 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Dont les écrits remplis de contradiction, v.391 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Par tous ses jugements pleins de prévention, v.516 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
D'erreur, de contradiction, v.517 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Soit dans ses actions, ou dans son entretien ? v.522 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Car l'exposition, v.658 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Et comment nommez-vous la proposition v.676 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
De ranimer la conversation v.790 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
D'abord du cercle entier fixe l'attention. v.794 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Selon l'objet, selon l'occasion, v.1021 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)

LE COMTE DE NEUILLY (1736)

Sa vie est un tissu d'actions héroïques ; v.25 (Acte 1, scène 1, NELTON)
L'ardente passion qu'il sent pour Léonore. v.266 (Acte 1, scène 5, NELTON)
Sa noble ambition est digne de louange, v.321 (Acte 2, scène 3, LUCIE)
Puisque son frère même, et leur tendre union, v.359 (Acte 2, scène 4, LUCIE)
Sont moins forts dans son coeur que cette aversion. v.360 (Acte 2, scène 4, LUCIE)
D'un penchant séducteur défions-nous tous deux. v.499 (Acte 2, scène 6, LÉONORE)
D'abord les passions pour quelque temps sommeillent, v.597 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Nous nous sussions livrés à nos tendres transports; v.913 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
Suivant de vos esprits l'aveugle passion, v.1013 (Acte 5, scène 1, LÉONORE)
Causer et partager votre rébellion ! v.1014 (Acte 5, scène 1, L?ONORE)
Si nous formions tous deux cette chaîne coupable, v.1035 (Acte 5, scène 1, LÉONORE)
Je rougirais de rompre une union si belle ; v.1188 (Acte 5, scène 5, LE COMTE)

LE RIVAL FAVORABLE (1739)

As-tu questionné Marton sur sa Maîtresse ? v.69 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Pourquoi lui refuser votre approbation ? v.235 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
Nous vous servirons mieux par émulation. v.236 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
Sa conversation d'autant plus me séduit, v.275 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Par ses réflexions, la raison nous maltraite ; v.309 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Ce commerce flatteur, faisant diversion, v.323 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Sera sans soins, sans trouble et sans réflexion : v.324 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Et sur nos passions n'a jamais l'avantage. v.334 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Votre amour sur les sens fait trop d'impression. v.387 (Acte 1, scène 8, MARTON)
Oui ; c'est ce qu'on appelle un coup de passion. v.388 (Acte 1, scène 8, LA FLEUR)
C'est à condition qu'il reviendra chez elle, v.490 (Acte 2, scène 3, MARTON)
De plus d'une action je me suis démêlé, v.611 (Acte 2, scène 5, LA FLEUR)
L'occasion détrompe, et le plus fin s'abuse. v.678 (Acte 2, scène 8, LÉANDRE)
Dont la protection m'est d'ailleurs nécessaire. v.705 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
Votre présence et vos discours me causent trop de trouble, et trop d'agitation : Mais non, revenez plutôt. (Acte 2, scène 10, DAMON)
Et, tourment pour tourment, je préfère le trouble à l'inquiétude, et l'agitation à l'ennui. (Acte 2, scène 10, DAMON)
Changer d'inflexion et prendre mon système. v.782 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
D'agréable union, de doux assortiment ; v.812 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Ma Déesse ! Ah ! vraiment, l'expression est tendre. v.845 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
L'approbation que vous avez donnée à ma tendresse, mérite tous mes remerciements. (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Ma Déesse, ne soyez donc plus jalouse de la Dame en question. (Acte 2, scène 12, CLARICE)
La Dame en question, c'est toujours le langage v.858 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
C'est bien dit : Oublions jusques à son nom même, v.865 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Point d'appréhension, v.875 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
On rendra le Billet avec discrétion : v.876 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Plaisante question! v.978 (Acte 2, scène 15, CLARICE)
Qui porte l'évidence et la conviction, v.1027 (Acte 3, scène 1, LA FLEUR)
Rien ne peut plus changer sa résolution. v.1028 (Acte 3, scène 1, LA FLEUR)
Il vient ; je m'en rapporte à sa décision. v.1167 (Acte 3, scène 7, ÉLIANTE)
Votre amour est trop sûr de sa discrétion. v.1168 (Acte 3, scène 7, CLARICE)
Ne nous écartons point : point de digression : v.1267 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
Attachons-nous au point dont il est question. v.1268 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
Mes passions : vous rendez, à cet objet si doux, v.1271 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
Il n'est pas suffisant dans cette occasion ; v.1320 (Acte 3, scène 9, DAMON)
Pour croire, j'ai besoin d'une conviction : v.1321 (Acte 3, scène 9, DAMON)
Il vous la donnera, je vous le cautionne: v.1323 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Il n'est plus question d'un discours inutile. v.1350 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Comment ! Elle serait de votre invention ? v.1379 (Acte 3, scène 10, CLARICE)
Oui, c'est à moi qu'il a cette obligation. v.1380 (Acte 3, scène 10, LÉANDRE)

LA FRIVOLITÉ (1753)

La révolution n'est pas si loin qu'on pense. v.191 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Pour l'érudition, dont la lourdeur accable, v.217 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
Que malgré tous ses airs et sa prétention, v.303 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Sa plus grande ennemie est la réflexion. v.316 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Notre profession à Londres est glorieuse. v.433 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Marions nos accents et nos talents ensemble. v.444 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Ah ! Ah ! Bouffonnons, rions tous. v.474 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
En changeant de plaisirs, nous les multiplions. v.519 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Mais, mais, j'admire en vous ces exclamations ! v.521 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Priver la Nation d'un si bel ornement ! v.536 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Quand vous supprimerez leurs actions falotes. v.557 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Vous avez contre nous trop de prévention. v.579 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Monsieur est d'une nation, v.581 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLIT?)
Qui, toujours neutre, agit sans passion. v.582 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLIT?)
Monsieur, point d'appréhension. v.584 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Et vu son action d'un oeil philosophique, v.595 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
Et sa décision est d'autant plus louable, v.603 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
La proposition me touche, v.611 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Cet Amphion en A, mi, la, v.754 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Nous y parodions chacun un instrument. v.779 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 14 textes (soit une présence dans 0,74 % des textes) dans lesquels il y a 301 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 21,50 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LA VIE EST UN SONGE	2	3	2	0	0	7
2	L'AUTEUR SUPERSTITIEUX	6	0	0	0	0	6
3	LE M?DECIN PAR OCCASION	0	1	0	0	0	1
4	LE MÉDECIN PAR OCCASION	1	6	2	7	4	20
5	LE BABILLARD	1	0	0	0	0	1
6	LE BABILLARD	20	0	0	0	0	20
7	LE FRAN?AIS ? LONDRES	54	0	0	0	0	54
8	L'HOMME DU JOUR	0	0	0	1	0	1
9	L'HOMME DU JOUR	2	9	4	7	4	26
10	L'APOLOGIE DU SIÈCLE	12	0	0	0	0	12
11	LE PLAGIAIRE	3	11	4	0	0	18
12	LE JE NE SAIS QUOI	19	0	0	0	0	19
13	LES DEHORS TROMPEURS	2	9	4	7	4	26
14	LA CRITIQUE	19	0	0	0	0	19
15	LE COMTE DE NEUILLY	2	4	1	1	4	12
16	LE RIVAL FAVORABLE	0	4	0	0	0	4
17	LE RIVAL FAVORABLE	10	12	13	0	0	35
18	LA FRIVOLITÉ	20	0	0	0	0	20
	Total	173	59	30	23	16	301